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Conclusion : citius, altius, fortius
Dans les textes olympiques, il est des formules qui ne peuvent pas être oubliées, par contre elles sont souvent attribuées à une personne qui n’en est pas l’auteur. Ainsi en est-il de ce qui suit : "Qu’on n’oublie pas la parole prononcée par l’évêque de Pennsylvanie à la cérémonie religieuse organisée lors des Jeux de la IV° Olympiade en l’église de St Paul à Londres. L’important, disait en substance l’éminent prélat, ce n’est pas d’être vainqueur aux Jeux, mais c’est d’y prendre part." Par la suite on attribua souvent ces paroles à Coubertin, ce qui est une erreur. Par contre, à un dîner servi pendant les mêmes Jeux, Coubertin répéta ce texte en l’approuvant et en y ajoutant : "car l’essentiel dans la vie n’est pas tant de conquérir que de lutter." C’est de cette maxime que provient la devise olympique : citius, altius, fortius. |
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Il ne s’agit pas ici de présenter tous les champions olympiques, mais certains d’entre eux qui ont donné vie à cette devise. |
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E.M.A. du Comité International Olympique | ||
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